Lovecraft et l'Astrologie

Science contre Chalatanerie

Essais sur l'Astrologie

par H. P. Lovecraft & J. F. Hartmann

 

 DEFENSE DE L'ASTROLOGIE 

 

Au Rédacteur en chef de l'Evening news :

 

Cher Monsieur,

 

 Mr. Lovecraft, en traitant de manière exagérée l'astrologie et les astrologues, le 8 octobre, donne un exemple de l'attitude déraisonnable des intellectuels influents, tel le clergé, les professeurs de collège, les écrivains et les scientifiques, particulièrement les astronomes, envers une science tout à fait pérennisée, à tous points de vue, comme aucune autre, mais au sujet de laquelle les hommes suffisants et fiers ne veulent pas s'engager.

Campant sur leur ignorance obstinée de cette noble science, ils se croient des juges équitables de ce qu'ils ne comprennent pas, et injurient abusivement de vilenies calomnieuses ceux qui en sont les tenants.

Ils ne sauraient se contenter d'une dénonciation ridicule et acharnée, qu'ils accompagnent d'actes qui la justifient, un art de la justice jamais pratiqué, même par les ennemis de l'astrologie.

Mr. Lovecraft commence ainsi sa seconde diatribe :

" Depuis que l'astrologie courante contemporaine est tout simplement du charlatanisme (et concernant l'ancienne, ou une qui ne serait pas courante ?) qui cherche à escroquer l'ignorant en usant d'un charabia grossier sciemment mensonger, son clan peut très facilement être réduit au silence par les autorités compétentes. "

Là il justifie la renaissance des pratiques médiévales de la force brutale, de la prison et de la torture comme un argument correct à utiliser par un scientifique comme substitution aux actes et à la pensée dans le débat avec des astrologues. Le premier et le dernier mot sont toujours à l'intolérance.

Le clergé, qui ne se profane jamais lui-même par des lectures scientifiques, puisqu'il ne peut pas enfoncer toutes les sciences, ce qu'il a pu faire une fois, se joint aux scientifiques sectaires, avec l'aide de législateurs influents, pour promulguer des lois visant à supprimer toutes les autres sciences, tout en demeurant impopulaire dans leur cercles de superstition et de peur du savoir. Superstition, parce que leur affreuse terreur de l'astrologie paraît inexplicable au peuple sain d'esprit.

Beaucoup d'astrologues, bons, honnêtes, sages, ont été persécutés, jetés en prison, leurs vies ruinées par les machinations de ces sectaires ; la loi, bafouant le libre droit des gens, leur interdit de consulter les astrologues, gens plus utiles que les hommes de loi. Les gens devraient avoir le droit de choisir leur science comme ils ont le droit de choisir leur religion, le même droit de rendre visite à leur astrologue comme de se rendre à l'assemblée du pasteur ou du prêtre.

Si tout doit être supprimé, l'ignorant frustre presque toutes les institutions religieuses qui, par leurs déformations, frustrent l'ignorant de la connaissance de l'astrologie.

Des adversaires honnêtes n'attaquent jamais une chose sans l'avoir d'abord éprouvée. Avant de dénoncer l'astrologie, ils doivent tester des centaines ou des milliers d'horoscopes, en les lisant d'après les règles des manuels, qu'ils soient amis ou béotiens.

C'est une loi évidente que pour être une science, elle doit être prophétique, que chaque phénomène devra se renouveler dans de semblables conditions ; une règle que l'astrologie confirme de façon remarquable, la plaçant ainsi parmi les sciences.

Sachant que dans certains phénomènes célestes, certains phénomènes ordinaires se renouvèlent, nous pouvons prédire avec assurance que dans le renouvellement du phénomène céleste, l'ordinaire se renouvellera aussi : l'expérience journalière de l'astrologue atteste cela en permanence.

Tant que nos calomniateurs n'auront pas réalisé et essayé les horoscopes, ils n'auront aucun argument qui fasse appel à la raison.

Aucun des nombreux livres d'astronomie ne montre comment réaliser un horoscope, une des premières leçons des étudiants en astronomie consiste à apprendre, c'est-à-dire à étudier une carte des cieux pour un temps et un emplacement donné. Comme cela semble naïf de calculer une semblable carte céleste, les professeurs pensent que c'est quelque chose de honteux, pour un astronome, à exécuter.

Et Mr. Lovecraft se plaint : " Le sinistre effet de l'Astrologie sur la réputation de l'Astronomie est si manifeste que Mr. Hartmann en parle de loin. Récemment, un homme qui avait lu mes articles sur l'astronomie, me demandait " si je n'avais pas tiré, ou calculé des horoscopes ! " Il n'est guère plaisant pour un observateur sérieux des cieux d'être pris pour un voyant insignifiant. "

 

Les astronomes mourraient plutôt de honte de ne pas savoir comment calculer une telle carte. Un horoscope commence avec la naissance.

Comment un astronome peut-il se mettre en colère à la pensée que la réalisation d'une carte d'étoiles semble être au-dessus de ses forces ?

 

 

Personne ne peut savoir, en les consultant, quels astrologues ne parlent pas " charabia " ; nos ennemis ne les consultent jamais, et ne peuvent par conséquent pas savoir comment les astrologues parlent. Mais il ne fait pas de doute qu'ils nomment " charabia " tout ce qui vient de la bouche ou de la plume d'un astrologue, même sérieux.

Deux récents articles, dans ces colonnes, qui émanent d'un ennemi se disant faussement astrologue, sont un véritable " charabia ", une espèce que notre critique ne critique pas.

Les astrologues véritables n'ont jamais écrit de parodies aussi ridicules sur leur science sacrée, que Mr. Lovecraft nomme une " superstition basique " .

Mais quelle superstition ? Edward B. Tylor, dans " Primitive Culture " 57 la définit comme dérivée de mots grecs signifiant " ce qui n'a pas quitté " depuis les temps passés. Ce qui implique que le passé ne peut rien nous enseigner. Comme si nous, qui vivons maintenant, étions les seuls qui n'ayons jamais connu de valeurs établies.

Selon la définition de Tylor, toute la littérature, l'histoire, les sciences, et les arts du temps passé sont superstition.

Andrew D. White, dans Conflict Between Science and Religion, 58 la définit comme dérivée du Grec " super 59", le supernaturel, et de " stitio 60 ", avoir peur - " avoir peur de Dieu ".

Mais l'astrologie n'est pas " la peur de Dieu ". Peur et supernaturel n'en sont pas davantage une partie que de l'astronomie ou que d'une autre science. D'où il ressort que l'astrologie n'est pas une superstition, gardée par l'imagination dérangée de ces ignares, qui, tremblant mortellement de peur, implorent les gouvernements de les aider, et gémissent " Police ! Police ! " à la simple vue d'un astrologue.

Alors que les astrologues escroquent les ignorants, ils les éclairent les aident, et rendent fréquemment service aux pauvres simples d'esprit, gratuitement, qui ne voudraient pas être leurs " charlatans ". Non seulement ils sont sérieux, ce que leur science requiert d'eux, mais ils sont aussi sympathiques, plein de pitié face à la souffrance, fondation de leur sens moral.

L'astrologie va loin dans la nature humaine et traite du bon et du mauvais de l'existence, de ce qui est plus néfaste que faste, des joies et des peines, des espérances et des craintes des mortels qui se démènent, là où les peines et les angoisses l'emportent sur les joies passagères de la vie ; et là, le savoir des astrologues devient d'une valeur bien plus grande, multipliée par cent, que les croyances et les prières des gens.

Les attaques de Mr. Lovecraft [sont que] les astrologues sont les ennemis du savoir, alors que leur véritable mission est, ordinairement, d'éclairer. Partout où vous rencontrez un bon astrologue, vous rencontrez indubitablement quelqu'un d'instruit, aux idées larges : un de ceux qui veulent voir le monde plus sage et plus heureux, et qui n'ont jamais eu le réflexe d'appeler la police pour les aider à trancher une question de science.

Comment un astronome qui se respecte peut-il proférer de telles attaques contre un astrologue dans l'incapacité de s'expliquer ?

C'est l'astronome qui, par des raisonnements faux au départ, cause de l'irrespect à l'astrologie, et empêche l'extension de la progression du savoir.

Mr. Lovecraft objecte à mon article : " L'un des fondements maintes fois répété de ces arguments : la prétendue ignorance de l'astrologie par les astronomes. Il se trompe gravement lorsqu'il nie que les astronomes puissent prouver le mensonge de l'astrologie. L'Astronomie enquête sur chaque force et chaque influence exercée les uns sur les autres par les différents corps de l'espace, en mesurant avec le plus grand soin et la plus grande exactitude leur plus infime manifestation d'énergie. Aucune de leur considérables influences ne peut valablement échapper à l'attention des astronomes, car ils s'adonnent à leur sujet sous chaque angle, et exploitent avec l'énergie la plus passionnée chacun des principes qui peuvent aider à découvrir une réelle information ".

Comme si les outils de cuivre et de verre des astronomes avaient atteint leur ultime perfection, des progrès mêmes lointains étant devenus impossibles.

L'astrologie n'est pas constituée d'un métal incomparablement plus sensible qu'aucun astronome n'en connaisse déjà, excepté le cerveau humain.

Lorsque les médecins disent que les phases de la lune influencent leurs patients, les astronomes le reconnaissent, mais quand les astrologues le disent, ils appellent cela de la superstition, et courent vers leur télescope pour le prouver.

Les astronomes refusent de tester l'astrologie selon leurs propres méthodes, ce qui, à coup sûr, prouverait que c'est une science véritable. Mais si c'était une " science mensongère ", selon les attaques de Mr. Lovecraft, alors leurs propres méthodes pourraient à juste titre en prouver la fausseté.

La méthode des astronomes est comme celle de l'anatomiste qui nie l'existence des facultés mentales dans le cerveau en sciant en morceaux les crânes et en n'y trouvant rien.

Mon critique poursuit : " L'astronome s'adonne à son sujet sous chaque angle, et exploite avec l'énergie la plus passionnée chacun des principes qui peut aider à découvrir une réelle information ". C'est justement ce que l'astronome ne fait pas. Il rejette la véritable information et le principe qui seul lui donnera des résultats. Il persiste obstinément dans les voies d'ignorance qu'il connaît, et reconnaît ne pas livrer les résultats qui pourraient être développés.

Il n'a jamais réellement travaillé l'astrologie, car il pense que ses ignorants professeurs l'ont induit en erreur, ou l'ont trompé.

Et derechef il écrit : " Les vrais observateurs, en comparant les mouvements de ces corps célestes, avec les races variées de l'humanité, n'ont jamais trouvé trace de l'évidence d'un lien entre les deux, ni découvert quelque raison d'un tel fait. "

Il pense aux faux observateurs, qui ne veulent pas chercher, ce qui lui permet ainsi de traiter la littérature sur l'astrologie de " misérables brochures " inaptes à des études sérieuses.

Le véritable chercheur ne trouve pas dans ces livres méprisables ce que le chercheur de mauvaise foi ne peut jamais y trouver. Il lui semble donc ridicule d'avoir à conclure : " Aucun savant rationaliste et sans parti-pris ne pourrait à un moment tolérer ainsi que la " science " demeure non vérifiée " - c'est-à-dire non vérifiée par lui et tous ceux qui maintiennent délibérément dans l'ignorance des faits ce qui les aide, comme ces " misérables brochures ", dont il considère l'étude comme une perte de temps et un rabaissement de sa dignité.

Le broussard australien, qui ne sait pas compter au-delà de trois, pense que la table de multiplication est " non vérifiée " par tous ceux qui n'y croient pas. Et la Bible, infaillible, a souvent démontré que l'astronomie était diabolique, jusqu'à ce que les derniers gouvernements d'obédience chrétienne absolvent rapidement leurs astronomes " charlatans ".

Nos détracteurs se trompent lorsqu'ils imaginent que ceux qui nient les influences planétaires nient l'astrologie. Ils semblent ignorer que notre science ne s'arrête pas à l'influence des planètes mais qu'en fait, les événements de la vie courante coïncident avec les phénomènes célestes et peuvent être lues à travers eux.

Si votre montre vous donne l'heure exacte, pensez-vous qu'elle fabrique le temps ou seulement qu'elle l'indique ? Prouver qu'elle ne crée pas le temps ne blesse pas la montre ; il en est de même avec l'astrologie.

" L'influence des planètes " devient un commode terme technique, parce que, à partir de la lecture des horoscopes, elle finissent par sembler ou avoir l'air d'influer sur les événements de la vie courante.

Les astronomes parlent également de leurs aspects comme si elles étaient réelles. Il évoquent le lever du soleil ou son coucher, tout en sachant que le soleil ne se lève pas ou ne se couche pas réellement ; ils parlent du mouvement rétrograde des planètes, alors que les planètes ne rétrogradent pas, et du cercle orbital qui n'est que supposé.

Tous les livres de notre bibliothèque publique sur l'astronomie donnent au lecteur l'impression qu'il existe des orbites circulaires. Un seul auteur a simplement ajouté, comme une sorte de pensée : " mais ce ne sont pas des mouvements figuratifs ".

Il y a probablement une explication simple des mouvements planétaires réels dans toute cette littérature : elle est dans le magazine Popular Astronomy. Un critique grincheux pourrait donc avoir une meilleure opinion de l'astronomie en tant que " science mensongère " qu'un astronome n'en aurait de l'astrologie.

Mr. Lovecraft, mis au défi, antérieurement, en réponse à ses critiques, d'éprouver les règles et les aphorismes de nos manuels, réplique : " Aucun savant rationaliste et sans parti-pris n'a besoin de " manuels d'astrologie " pour ressentir cet " absolu non fondé ". C'est admettre une ignorance obstinée des contenus et des enseignements des livres d'astrologie.

Que penserait-il d'un juge " rationaliste et sans parti-pris " qui refuserait d'entendre son point de vue, sur l'argument qu'il n'en a pas " besoin ", et qui le condamnerait pour langage excessif, insultes et calomnieuses vitupérations ?

Mr. Lovecraft poursuit : " Mr. Hartmann semble lui-même posséder, à juste titre, ces caractéristiques d'intelligence qu'il déplore chez les autres. Il est certainement sectaire dans sa croyance en l'astrologie, et n'a pas, à l'évidence, étudié davantage l'astronomie que les astronomes qu'il censure n'ont étudié l'astrologie. Un simple cours d'astronomie suffirait à anéantir ses idées moyenâgeuses. "

Les idées moyenâgeuses ont servi à emprisonner les astronomes comme maintenant les astronomes emprisonnent les astrologues. Nous ne sommes en rien ignorants de l'astronomie, qui doit être étudiée pour devenir astrologue. C'est dans l'astronomie que nous puisons notre astrologie.

Le sectaire est celui qui, sans raisonner, condamne sans cesse une science dont il ne veut pas étudier les manuels, et dont il ne veut pas analyser les résultats. Le sectaire cherche à réfuter les idées des autres simplement en les niant brutalement, par un discours excessif et des traits grossiers ; le sectaire dans un débat scientifique se réjouit de l'arrestation tyrannique et de l'emprisonnement de ceux dont il ne partage pas les points de vue, faits ou idées ; il fabrique des rapports et des raisonnements mensongers qu'il pense asseoir avec une matraque de policier et des barreaux de prison.

Ayant été invité à dire quelle sorte d'évidence pourrait lui faire admettre comme une preuve que l'astrologie est une science véritable, mon détracteur, refuse évasivement le défi en demandant " selon quels principes les destins variés et complexes des hommes peuvent être reliés avec les positions visibles des corps immensément éloignés. "

Il est facile de répondre en comparant les vies des hommes avec leurs horoscopes.

Mais comme notre critique ignore comment on lit un horoscope, et qu'il a ressenti comme une contrariété lorsqu'on lui a demandé s'il pouvait le faire, il n'a aucune possibilité de le faire, et ne peut donc être jugé là-dessus.

L'incapacité à expliquer à observer pourquoi les faits observés sont les faits n'est pas un argument contre leur existence.

Quelques astronomes semblent ignorer cela.

Quelle jolie logique : Une chose n'est pas une chose à moins que nous puissions expliquer qu'elle est une chose.

Il demande : " d'expliquer pourquoi quelques excentriques sophistes affirment leur capacité à détecter et à étudier sans instruments différentes sortes d'énergies qu'aucun autre scientifique n'a encore relevées avec les appareils les plus élaborés et les plus précis. Mais ce serait accorder beaucoup trop de respect à un méprisable charlatan que de considérer sérieusement ces questions. "

Mr. Lovecraft se trompe s'il pense que les astrologues étudient les différentes formes d'énergie planétaire, qu'ils n'ont pas besoin d'étudier, car elles ne font pas partie de l'astrologie, science complète sans cette sorte d'étude.

Je pourrai faire mon intéressant en racontant quels sortes d'instruments ont utilisé les astronomes, et comment et par quel cheminement ils en sont arrivés à décider qu'il n'y avait pas de lien astrologique entre la terre et le ciel, et comment ils sont parvenus en la matière à une débauche considérable de temps, d'argent, d'étude et de patience.

Evidemment ils n'ont rien apporté du tout, puisque pour parler comme notre critique, ils ne peuvent "considérer sérieusement ces questions ".

Jusqu'à ce qu'ils racontent leur histoire, nous douterons qu'ils aient quelque chose à raconter.

Aussi longtemps que de faux propos, de furieux mépris, des excès de langage, et des traits grossiers sortiront de leurs lèvres et de leurs plumes. Procédés réellement peu seyants à la dignité de scientifiques distingués, à la robe professorale, ou à l'habit sacré.

Que "Tycho Brahe et Gassendi " aient délaissé l'astrologie pour d'autres études n'est aucunement un argument contre eux ; si tel était leur choix, cela ne prouve pas la fausseté de la science. Qu'en est-il des centaines d'astrologues qui n'ont pas abandonné leur art ? Et qu'en est-il des adversaires que leurs recherches ont converti ? Est-ce que les astrologues n'ont pas comme les autres hommes le droit de changer de profession ?

Tant que les astronomes n'ont pas nié l'influence planétaire, mais seulement le défaut de leurs instruments à la détecter, ils ont sans cesse rejeté le seul instrument approprié pour démontrer le rapport entre les corps célestes - l'horoscope. Si leur incapacité à découvrir la puissance de l'astrologie, leur fait réfuter cette dernière, leur incapacité à découvrir l'énergie contenue dans les étoiles doit les faire se lever et se coucher chaque nuit avec la certitude de réfuter l'astronomie.

 

 

J. F. Hartmann.

77 Aborn Street.

[ Suite ]

 


57. Primitive Culture : Researches into the Developement of Mythology,Religion, Art, and Custom (1871), par Sir Edward Burnett Tylor (1832-1917). Lovecraft mentionne Tylor dans " Celui qui chuchotait dans les ténèbres " (traduction de F. Lacassin. NdT) (cf. L'Horreur de Dunwich et autres ; Sauk city, Wis. ; Arkham house, 1963, p. 220)

58. Le titre actuel est A History of the Warfare of Science ans Theology in Cristendom (Histoitre de la Lutte entre la Science et la théologie dans la Chrétienté. NdT) (2 vols ; 1876 ; réimp. New York : Dover Publications, 1960), par Andrew Dickson White (1832-1918); Il existe un livre intitulé History of the Conflict Between Religion and Science (1875), par J. W. Draper (1811-1882).

59. En latin dans le teste (NdT)

60. En latin dans le texte (NdT).